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Le thème à traiter est « La houppe dentelée »  dénommée aussi « corde à nœuds ».

 Peu visible, bordant la partie supérieure des murs du Temple, elle s’étend du midi jusqu’au septentrion en passant par l’orient  pour ne laisser libre que l’espace situé  entre les 2 colonnes JACKIN et BOAZ, c’est-à-dire à l‘entrée du temple, point de rupture entre le monde profane et le monde sacré. Cet endroit me rappelle l’entrée des temples grecs sur laquelle un fronton indiquait le programme d’une vie « Connais-toi, toi-même …. ». Cet espace rappelle, aussi, l’entrée dans le déambulatoire bien connu de Dante Alighieri,  espace qu’il parcourt avec Virgiglio pour retrouver Beatrice. A l’entrée l’inscription « Perdez tout espoir, vous qui entrez »,  me laisse pressentir que placée ainsi la houppe dentelée indique à celui qui entre qu’un changement de dimension va s’opérer. Elle symbolise, aussi, à elle seule la création d’un espace,  lequel, selon notre tradition de bâtisseur issue de l’Egypte ancienne, est celui de la création émergeant de l’océan d’énergie, l‘océan primordial. Composée de 13 nœuds dénommés « lacs d’amour » (3 à l’Orient, 5 sur chacun des côtés  Midi et Septentrion     et 12 intervalles,  elle  se termine  à chaque extrémité, par trois petits brins dénommés  houppes. Pour la découvrir il faut faire un acte volontaire,  celui de lever la tête nous obligeant, à fournir un double effort d’observation/contemplation suivie de la recherche de sa signification symbolique ou méditation

Elle représente, donc,  un symbole essentiel que je vais m’efforcer de vous faire découvrir. Voici le plan  suivi :  la corde et  son rôle,  l’analyse des nœuds par leur forme et leurs nombres puis  sa  déclinaison vers la chaîne d’union.

Dans les croyances de  nombreuses traditions anciennes (par anciens j’entends les maîtres gardiens de la science sacrée)  la corde  jouait le rôle de  principe unitaire  reliant les mondes entre eux ce qui permettait  aux hommes vivant sur terre de ne pas être séparés du ciel.  Elle était leur lien invisible, perçu en tant que disposition prise par le principe créateur pour organiser le ciel et ses constellations. Pour eux ces cordes imperceptibles assuraient  la stabilité et la permanence de la configuration céleste. Pour preuves, ces paroles tirées du  Livre de Job,  prononcées par le créateur : «  Peux-tu nouer les liens des Pléiades, desserrer les cordes d’Orion, amener la couronne en son temps, conduire l’Ours avec ses petits »?  C’est bien la corde qui est utilisée pour décrire le ciel et ses constellations.

Dans l’Egypte ancienne, la corde occupait  une place prépondérante, dans sa représentation du ciel du Nord car pour maîtriser la puissance du dieu Seth présente parmi les étoiles circumpolaires  c’est la constellation de la Grande Ourse, représentation céleste, qui trouvait  sa correspondance terrestre en la patte avant du taureau. La maîtrise de cette puissance était dirigée par Isis sous la forme de  Thouéris (hippopotame femelle) qui à l’aide d’une corde empêchait cette force de se déplacer vers le Sud afin d’éviter de nuire à Osiris représenté par Orion.

Dans les traditions anciennes en Amérique Centrale, dans le Coran, chez les tatars, dans les traditions tibétaines antérieures au bouddhisme et de nos jours au Japon la corde continue à jouer le rôle d’équilibre cosmique et de sacré

L’origine céleste du cordeau (ou corde)  justifie, par conséquent,  le caractère sacré de l’édifice construit par les anciens   L’acte fondateur de tendre le cordeau  se situe dans la tradition des bâtisseurs qui est celle de la poursuite de l’œuvre du Principe Créateur : les civilisations traditionnelles ont bâti sur terre des œuvres qui reflètent l’harmonie céleste et manifestent la Règle cosmique. C’est ainsi qu’en ayant perçu les rapports immuables unissant le ciel et la terre les Anciens ont construit pour l’éternité à la gloire du Principe leurs édifices participant à une démarche rituellique  qui abolit le temps et inscrit leurs œuvres dans l’instant d’éternité.

L’utilisation de la corde d’arpentage est  le symbole du lien qui unit l’espace et le temps céleste à l’espace et au temps terrestre. Elle est l’outil indispensable pour transposer sur terre l’ordre du ciel en établissant les proportions justes sans lesquelles on n’obtient que désordre et chaos. . En Egypte ancienne l’une des plus importantes cérémonies de la fondation d’un temple était celle de «  tendre le cordeau » entre 2 piquets. Après une visée sur les étoiles « circumpolaires » qui déterminaient l’orientation de la construction ainsi que les principaux axes du tracé afin d’établir l’orientation du temple, le Roi et SECHAT, maîtresse des livres divins (vêtue d’une peau de léopard dont les taches rappellent les étoiles associées à l’idée d’éternité) tendaient le cordeau sur l’emplacement de ses murs et déterminaient ses 4 angles en frappant sur les piquets avec un maillet unissant ainsi le haut et le bas    .

La corde d’arpentage des bâtisseurs, héritière de cette tradition,  est  l’outil indispensable pour délimiter un espace de rectitude en devenir. Elle comporte 13 nœuds et 12 espaces égaux qui mettent ce symbole en rapport avec le zodiaque et le temps sacré. Le cercle zodiacal ou roue de la vie (il  est le Un en expansion, le point qui devient la droite laquelle en se développant se transforme en cercle), les astres et les constellations y conjuguent leurs énergies. Les nœuds sont des points de convergence des forces unissant les 2 mondes divin et humain. Ainsi ce qui est lié au ciel l’est aussi sur terre et réciproquement. Utiliser la corde d’arpentage revient donc à construire un monde en fonction des lois célestes afin que ce qui est en bas puisse accueillir ce qui est en haut. Par l’utilisation de la corde d’arpentage divisée en coudée  c’est à la vie que s’adresse le système pharaonique, la coudée faisant le lien entre le nombre, sa fonction et la mesure. A l’aide de la corde à 13 nœuds et 12 espaces les anciens Egyptiens traçaient un angle droit selon une méthode simple : en laissant une extrémité libre d’une longueur 3, il fixait  par 2 pieux la longueur 4. Il restait la seconde partie libre qui mesurait 5. Il suffit alors de rabattre les 2 extrémités 3 et 5 pour obtenir un triangle rectangle; Le triangle 3-4-5  qui nous ramène au théorème de Pythagore (le carré de l’hypoténuse (5*5= 25) est égal à la somme des carrés des 2 autres côtés : ((3*3) + (4*4) ) = 25.  Ces 3 nombres forment le circuit zodiacal ou cycle fondamental  de 3 fois 4 ce qui explique pourquoi les Egyptiens ont considéré ce triangle rectangle  comme le plus beau des triangles et que c‘est surtout à cette figure qu‘ils ont comparé la nature de l‘Univers. L autre caractéristique est que « le produit du carré de sa base par le carré de sa hauteur ((3*3)*(4*4)) donne le nombre 144  (12*12 = 144) » … il existerait, donc, une quadrature[i] particulière entre le symbolisme issu du Triangle de Pythagore et la houppe dentelée.  Ce nombre est  considéré comme celui de la connaissance parfaite, le symbole de l’éternité magnifié par Paul Claudel : «  144 est 12 fois 12; 12 qui est 3 x 4, le carré multiplié par le triangle. C’est la racine de la sphère, c’est le chiffre de la perfection. 12 fois 12, c’est la perfection multipliée par elle-même, la perfection au cube, la plénitude qui exclut toute autre chose qu’elle-même, le paradis géométrique… »

Quelques mois après mon entrée en maçonnerie j’ai eu l’ honneur de pouvoir assister au rituel d’installation d’un temple. Pour que celui-ci soit très pur, très saint, et très éclairé par la lumière d’Egypte, pour que ce lieu soit un lieu où règne la paix, la joie et l’harmonie les frères maçons ont  constitué le carré long du temple à l’aide de la corde à nœuds et du triangle sacré, refaisant, ainsi, les mêmes gestes que leurs aînés , il y a des milliers d’années. Ce jour là, par la magie de l’amour et de la transmission, nous sœurs et frères bâtisseurs, nous avons vécu le présent dans l’éternité.

La corde nouée possède des vertus secrètes,  les nœuds jouant un rôle essentiel dans la circulation de l‘énergie. Ainsi le  nœud nous fait comprendre le processus de la naissance : durant toute la période de gestation le cordon ombilical  relie le petit d’homme à la  terre-mère nourricière, sa rupture, dans un cri qui est  souffle de vie   est signe de détachement/ transformation/ mutation, voire libération. Croisements des énergies les nœuds  sont donc des lieux de création, de transfert,  de diversification.

Le nœud de la houppe dentelée, ou lac d’amour,  a la forme d’un 8 couché dans l’horizontalité du cycle indéfiniment répété (tandis que le 8 debout est celui de la verticalité, de la sortie du temps, de la rupture  du cycle rappelant le caducée d’Hermès réunissant sur son axe les 2 serpents de la dualité temporelle). Le 8 couché figure la lemniscate : elle représente l’infini en mathématiques. Objet d’étude en mathématiques  elle réside dans l’observation du ciel et du mouvement des planètes vu de la terre  Le lac d’amour  reproduit le croisement des 2 sens de rotation dextrogyre et lévogyre : la capacité de passage de l’un à l’autre est ainsi la possibilité de l’éternel retour à l’origine qui correspond au renouvellement des questions posées à l’Invisible.

Chaque nœud est une union entre la matière terrestre et l’essence divine. Par l’appellation  « lac d ‘amour » nos anciens nous ont  rappelé  que ce qui est en relation avec l’amour constitue le fondement même de la vie   Très proche de nous,  le docteur Von Frisch – à la mi XXème siècle – a démontré que la danse des abeilles butineuses se faisait suivant un schéma de la nature du nœud de 8 ( forme, direction, et intensité de la danse renseignent de façon très précise sur l’orientation et la distance du lieu de la récolte ). Etonnant lorsque l’on sait que dans la plupart des traditions anciennes le symbolisme de l’abeille, au plan ésotérique,  est celui de la sagesse et de l’immortalité de l’âme !

12 intervalles. C’est le produit des 4 points cardinaux par les 3 plans du monde. Le ciel considéré comme une coupole est divisé en 12 secteurs, les 12 signes du zodiaque. La combinaison de 12 fois 5 donne naissance au cycle de 60 ans où se résolvent les cycles solaire et lunaire. Le 12 symbolise donc l’univers dans son déroulement spatio-temporel. Il symbolise aussi l’univers dans sa complexité interne. Le duodénaire qui caractérise l’année et le zodiaque représente aussi la multiplication des 4 éléments : terre, eau, air, feu par les 3 principes alchimiques  soufre, sel, mercure. Dans  la symbolique chrétienne : La combinaison du 4 (carré) du monde spatial et du 3 (triangle) du temps sacré mesurant la création-recréation donne le 12 qui est celui du monde achevé. C‘est celui de la Jérusalem céleste : 12 portes marquées du nom des tribus d‘Israël.  Dans un sens plus mystique, le 3 est rapporté à la Trinité, le 4 à la création, mais le symbolisme du 12 reste le même : un accomplissement du crée terrestre par élévation dans l’incréé divin.

Ordonnatrice de l’espace  la corde l’est également du temps : 12 espaces qui évoquent le combat que mène le  dieu Rê, dans le monde souterrain «  la DOUAT »   en rapport avec les  12 heures de la nuit (de 5h du soir à 5h du matin). Combat mené   contre les forces du « chaos » représenté  par le serpent Apophis afin de permettre la réapparition du soleil chaque matin sur «  le monde d’en haut ». Ce périple avait pour but la renaissance du Dieu Rê, représentée par le lever du soleil,  considéré également comme la renaissance du monde et le signe que le dieu Rê avait triomphé des forces du chaos. Le voyage du dieu Rê est semblable à celui que nous, sœurs et frères maçons,  devons mener contre nos propres limitations   Le soleil correspond dans l’homme à l’étincelle divine Par contre, la racine divine de l’homme s’assombrit et semble mourir   quand l’âme pénètre la maison de Saturne-Seth qu’elle va traverser :  12 régions souterraines ( qui correspondaient, dans l’ancienne Egypte,  à 12 étapes de l’initiation )  pour ressusciter et reprendre son ascension dans l’objectif de gravir les degrés de la conscience.  On trouve également la notion des 12 portes au sein des pyramides d’Egypte dont le couloir menant au sarcophage est constitué de 12 encadrements de portes, correspondant à chacune des heures de la nuit.  On peut rapprocher, aussi,  le nombre 12 des 12 méridiens de l’acupuncture chinoise, c’est-à-dire les 12 vaisseaux dans lesquels circule l’énergie animant les différents organes du corps humain. 

13 nœuds ou  lacs d’amour apparemment tous identiques mais qui ont cependant chacun leur propre identité, leur propre fonction, leur propre orientation et leur propre disposition sur la corde. Chacun représente une sensibilité particulière à la perception du principe  à l’instar de chacun d’entre nous  maçons réunis ici,  placés  à l’endroit  juste  en ce lieu sacré. Le nombre 13 est souvent associé à la notion de rupture qui provoque le dynamisme, ouvrant sur l’éternité, le mystère, la régénération nous  remémorant, ainsi, la tragédie d’Osiris : l’éparpillement de son corps  puis la reconstitution  par Isis  de 13 morceaux mais dont la recherche de la  pièce manquante, le phallus se donne pour objectif la réintégration à l’unité originelle par la convergence des énergies disperséesN’est-ce pas  toute notre quête ?

La symbolique du nombre 13 a bien d’autres significations très intéressantes mais là n’est pas le sujet

Les 3 petits brins qui terminent la houppe  peuvent rappeler, selon Jean Chevalier,  les  coins du châle de prière que portent les  juifs religieux.  Quant à moi, je les compare à des racines nous ramenant ainsi au «  principe osirien » : dégénérescence, germination, renaissance,  croissance,  éclosion  où chaque phase  du devenir est en relation avec la cause première. Depuis le monde souterrain, Osiris, commande du  cycle de la mort à l’éclosion : le passage par chacune de ces étapes correspond à la transformation de l’homme vers un autre état de conscience. La racine est donc pour moi l’emblème  de l’évolution/ transmutation, c’est l’embryon qui porte en lui le fruit latent invisible avec toutes ses potentialités sous-jacentes, mais encore impalpables.

La symbolique maçonnique a fait de la houppe dentelée le symbole de la chaîne d’union.  Lorsqu’à la fin de chaque tenue, encerclant le Naos,   nous formons  la chaîne d’union les  bras tendus tels une corde, les  mains nouées formant des lacs d‘amour, le corps positionné tel une étoile à 5 branches nous vivons  notre statut de « poussières d’étoiles » et chacun d’entre nous pressent son  appartenance à plus grand que soi  qui se situe en dehors de l’espace et du temps. Ainsi  nous vivons non seulement la fraternité de la loge mais nous vibrons, aussi,  à l’unisson des énergies cosmiques.  Tous unis dans le mystère nous  communions avec le Principe Créateur.  Tout notre parcours initiatique nous prépare à vivre cette communion et à tourner notre regard vers la Lumière, la pratique du rituel compensant l’indigence de la vision et de l’entendement humains.  Pierres vivantes que nous sommes,  le Vénérable Maître relié à l’orient,  nous aide à construire le Temple Le rôle du Vénérable Maître, devenu  Lumière  au cours de la tenue,  peut alors  être comparé à celui de Pharaon qui à l’élaboration du plan du temple prend pour guide les étoiles circumpolaires afin d’unir,  le Haut ou Divin avec la Bas ou Terrestre. Par la chaîne d’union nous nous relions de façon impalpable  à la pensée rituelle de la  création du monde, une énergie qui donne la lumière et qui donne corps à l’invisibleLa chaine d’union devient, alors,  céleste. Et par delà les siècles, vivant dans le non-temps,  nous rejoignons  les chaînes d’union de l’Egypte ancienne qui étaient pratiquées par des divinités malgré leur apparence humaine : il s’agissait d’une union entre un être humain et un être divin.  Ainsi, la chaîne d’union parachève le rituel et place le frère d’hier, d’aujourd’hui, de demain dans le plan immuable de la création, alors nous vivons l’Universel et la Transcendance. « Poussières d’étoile » nous faisons partie intégrante du cosmos et nous sommes tous, sur cette planète terre, des êtres cosmiques voués au même dessein cosmique. Télescopage entre le spirituel et l’humain, la chaîne d’union a  magiquement crée un lien, tout comme la corde d‘arpentage, entre le plus abstrait et le plus concret, le visible et l’invisible.

Dans les actes magiques il est souvent question d’une corde disposée en forme de cercle, l’intérieur et l’extérieur du cercle définissent deux espaces  situés sur deux plans différents : l’un est sacré,  l’autre   est profane. La houppe dentelée joue- t- elle ce rôle?  Tout d’abord, elle n’est pas fermée,   mais à bien y réfléchir,  si elle est ouverte à l’occident c’est pour laisser un point de passage représenté par les deux colonnes et le linteau qui les relie.  L’initié rentre dans le temple avec la shushuma (ou colonne vertébrale)  à la verticale unissant  en lui la force cosmique et la force tellurique,  alors que le profane, lui, y pénètrera avec la  shushuma à l’horizontal en signe d’extrême humilité. Ainsi, la porte franchie il devra concevoir une nouvelle verticalisation  Ce redressement de la colonne vertébrale est, sans doute à rapprocher du redressement de la colonne « djed » que pharaon doit faire pour s‘inscrire dans la « Maat ».  Nous rejoignons, donc,  la conception égyptienne, qui a fait dire à René Adolphe Schwaller de Lubicz dans son livre le « miracle égyptien « : Le symbole hiéroglyphique désignant la porte se lit sba qui signifie à la fois étoile et enseignement, et c’est une  des grandes clefs de l’enseignement donné par l’architecture pharaonique car  «  la Porte donne les Lois fondamentales des fonctions qui seront développées à l’intérieur du Temple ou du Sanctuaire vers lequel cette porte introduit »

Lorsque nous  quittons  la chaîne d’union sans la rompre sous les exhortations du Vénérable Maître : « J’ai dit, mes sœurs et mes frères, quittons la chaîne sans jamais la rompre »     nous devons prendre conscience que la chaîne d’union n’est plus purement terrestre, mais qu’elle est  devenue un acte du ressort de la sphère divine.     

J’ai dit

Cannelle

[i] Quadrature :  concept qui symbolise un ensemble de qualités ou d’essences communes entre deux espaces dont les apparences objectives ou cachées se présentent très différentes, dans notre contexte cette quadrature nous montrerait que la même connaissance régit le monde pythagoricien  (3-4-5) et le monde représentant le cosmos (monde céleste) Correspondance entre l’organisation cosmique et les lois qui le régissent et le triangle pythagoricien.  

 

 

 

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